Accompagné de sa guitare, son bouzouki et de ses machines, Johan Papaconstantino donne une seconde vie, au Rebetiko, la musique de son enfance, celle de ses parents, mais surtout celle des bas-fonds d’Athènes des années 30.
Il produit une œuvre globale en transposant ses sentiments à travers la musique et la peinture, puisant son inspiration dans les deux arts.
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